Résultats du projet

L’étude des cartes géoréférencées a permis de comprendre certaines évolutions du paysage, telles que la création des lagunes au 17ème siècle ou l’évolution des ouvertures sur la mer.

Une analyse statistique d’accessibilité à l’eau montre une dichotomie entre deux types de sites : d’une part, ceux qui sont  proches de moins de 400 mètres ont joué un rôle politique et économique, et d’autre part, ceux qui sont éloignés de plus de 400 mètres d’un cours d’eau et qui servent de « cadastre religieux » du territoire.

L’étude statistique a mis en lumière le décalage chronologique existant dans l’hydrologie entre les dates des sites anciens et les cartes modernes utilisées. L’étude doit donc se focaliser sur les traces de rivières ou paléo-rivières encore visibles dans les parcellaires modernes.